Il existe dans les environnements bloguesques immédiats un spectre d'amie qui signe du nom d'Anonyme.
Celle la même chez qui je suis allée diner -très bien d'ailleurs- hier soir, avec sa colocataire dont je tairai le nom par resepct de l'anonymat!
Nous discutâmes, déconnâmes, buâmes un peu, à la hauteur de ce que nous sommes capables de faire en tant normal. J'avais apporté un Bordeaux Supérieur, me fiant à l'appellation supérieur pour espérer apporter qqc de moins mauvais que la fois dernière.
Anonyme et son amie buvaient donc, et se re-servaient, sans vergogne, et nous continuions à bavarder et dire du mal de qui nous pouvions. Une soirée somme toute fort sympathique. Anonyme sentait un peu fort de la cavité buccale mais, par respect pour notre amie, nous décidions de ne rien dire, et nous partîmes direction la Flèche d'or, où un petit concert ma foi fort sympathique nous attendait.
Et c'est là qu'Anonyme péta clairement un boulon! Elle se saisit violement de mon portable sans que je ne puisse rien dire et commença à rédiger des sottises dessus. Anonyme qui avait toujours prétendu ne pas savoir écrire des textos avec mon portable trouva subitement toutes les options dont elle avait besoin pour assouvir son désir prononcé de faire une blagounette. Le Bordeaux Supérieur rend lucide, qu'on se le tienne pour dit!
Anonyme rédigeait donc un message qui devait ête fort amusant vu qu'elle riait toute seule en le tapant, s'extasiant même des recours économiques qu'elle utilisait, afin de limiter les caractères, transformant aisni un "de " en "2". Anonyme textotait donc assiduement, pendant que l'amie d'anonyme et moi cherchions désepérement la rue de Bagnolet. Je demandai donc à un autochtone vingtièmiste "excuse moi, tu sais pas où est la rue de Bagnolet s'il te plait?' "Ben vous êtes dedans" répondit-il, l'air amusé.
Anonyme pendant ce temps était venu à bout de sa blagounette et nous pûmes enfin lire ce message subliminal: "la nostalgie du karaoke nous tiraille, X* a très envie de chanter nuit tu me fais peur, on a bu. Alors?", lequel message elle a envoyé à un ancien ami à nous, que nous ne voyons plus depuis un certain temps à cause des tribulations et autres échecs amoureux des unes et des autres... mais qui est équipé d'un karaoké et de quelques bouteilles d'alcool promettant des soirées joyeuses. Je nageais dans le plaisir de savoir ce message émis de mon propre bigophone.
Puis la réponse tomba, très vite. Chère eve, eu-je été chez moi que je voue eusse accueilli avec plaisir (emploi douteux du subjonctif plus que parfait ndrl, mais bon si lui aussi avait bu après tout pouquoi pas). Mais ce soir ce n'est pas possible, je pense à vous pour la prochaine partie".Saloperie ça a marché! il s'adresse à moi, je suis grillée je suis faite! alors que tout ça c'est les conneries d'anonyme qu'a pas aimé qu'on dise que le mélange ail/Bordeaux lui faisait dégager un semblant d'odeur nauséabonde. Qu'est-ce qu'elle est susceptible, vraiment...
Bon advienne que pourra, je sais pas si j'assumerai d'aller chanter "nuit tu me fais peur" ou n'importe quelle autre connerie chez lui. Nous verrons!
* coloctaire pas moins sournoise d'Anonyme!
A part ça on a vu Karpatt en concert, arrivées pile poile à l'heure, un peu piétinées par tout ces gens qui sont très grands et veulent traverser un verre de bière à la main une salle comble. Bien chanté. Bien rigolé. Pas trop bu. Pas fumé.
Celle la même chez qui je suis allée diner -très bien d'ailleurs- hier soir, avec sa colocataire dont je tairai le nom par resepct de l'anonymat!
Nous discutâmes, déconnâmes, buâmes un peu, à la hauteur de ce que nous sommes capables de faire en tant normal. J'avais apporté un Bordeaux Supérieur, me fiant à l'appellation supérieur pour espérer apporter qqc de moins mauvais que la fois dernière.
Anonyme et son amie buvaient donc, et se re-servaient, sans vergogne, et nous continuions à bavarder et dire du mal de qui nous pouvions. Une soirée somme toute fort sympathique. Anonyme sentait un peu fort de la cavité buccale mais, par respect pour notre amie, nous décidions de ne rien dire, et nous partîmes direction la Flèche d'or, où un petit concert ma foi fort sympathique nous attendait.
Et c'est là qu'Anonyme péta clairement un boulon! Elle se saisit violement de mon portable sans que je ne puisse rien dire et commença à rédiger des sottises dessus. Anonyme qui avait toujours prétendu ne pas savoir écrire des textos avec mon portable trouva subitement toutes les options dont elle avait besoin pour assouvir son désir prononcé de faire une blagounette. Le Bordeaux Supérieur rend lucide, qu'on se le tienne pour dit!
Anonyme rédigeait donc un message qui devait ête fort amusant vu qu'elle riait toute seule en le tapant, s'extasiant même des recours économiques qu'elle utilisait, afin de limiter les caractères, transformant aisni un "de " en "2". Anonyme textotait donc assiduement, pendant que l'amie d'anonyme et moi cherchions désepérement la rue de Bagnolet. Je demandai donc à un autochtone vingtièmiste "excuse moi, tu sais pas où est la rue de Bagnolet s'il te plait?' "Ben vous êtes dedans" répondit-il, l'air amusé.
Anonyme pendant ce temps était venu à bout de sa blagounette et nous pûmes enfin lire ce message subliminal: "la nostalgie du karaoke nous tiraille, X* a très envie de chanter nuit tu me fais peur, on a bu. Alors?", lequel message elle a envoyé à un ancien ami à nous, que nous ne voyons plus depuis un certain temps à cause des tribulations et autres échecs amoureux des unes et des autres... mais qui est équipé d'un karaoké et de quelques bouteilles d'alcool promettant des soirées joyeuses. Je nageais dans le plaisir de savoir ce message émis de mon propre bigophone.
Puis la réponse tomba, très vite. Chère eve, eu-je été chez moi que je voue eusse accueilli avec plaisir (emploi douteux du subjonctif plus que parfait ndrl, mais bon si lui aussi avait bu après tout pouquoi pas). Mais ce soir ce n'est pas possible, je pense à vous pour la prochaine partie".Saloperie ça a marché! il s'adresse à moi, je suis grillée je suis faite! alors que tout ça c'est les conneries d'anonyme qu'a pas aimé qu'on dise que le mélange ail/Bordeaux lui faisait dégager un semblant d'odeur nauséabonde. Qu'est-ce qu'elle est susceptible, vraiment...
Bon advienne que pourra, je sais pas si j'assumerai d'aller chanter "nuit tu me fais peur" ou n'importe quelle autre connerie chez lui. Nous verrons!
* coloctaire pas moins sournoise d'Anonyme!
A part ça on a vu Karpatt en concert, arrivées pile poile à l'heure, un peu piétinées par tout ces gens qui sont très grands et veulent traverser un verre de bière à la main une salle comble. Bien chanté. Bien rigolé. Pas trop bu. Pas fumé.
Anonyme s'engage à me laisser Louis Garrel et met une otpion sur le guitariste de Karpatt** (c'est peine perdue ça fait des années que ça dure, qu'elle fantasme à mort quand il gratouille son ustensile de musique, et ça n'a jamais été plus loin que de vagues applauddissement à la fin de la chanson. A la limite un léger déhenchement!)
** (au milieu de la photo)
1 commentaire:
je sens comme un légère animosité envers ma personne, je tiens à preciser aux lecteurs assidus de ce blog qu'elle est totalement injustifiée, étant une personne de la plus grande sobriété, à la moralité irréprochable, modeste de surcroit!
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